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Ex, drague et rock'n'roll !. 8 [Texte imprimé] / Delaf & Dubuc

Disponibilité Type Localisation Cote
Disponible Livre Rez-de-Chaussée - BD ado BD NOM 8
Disponible
couverture du document

Ex, drague et rock'n'roll !. 8 [Texte imprimé] / Delaf & Dubuc

Tome :
8
Auteurs :
Delaf (1973-....) Auteur du texte
Dubuc, Maryse (1977-....) Auteur du texte
Editeur :
Collection :
Année de parution :
2018
Célébrité, foules en délire, studios d'enregistrement... c'est ça maintenant, la vie quotidienne de Karine. Il est loin le temps où tout le monde la considérait comme une victime ! Mais devenir une vedette ne vient pas sans son lot de difficultés... Jenny et Vicky, de leur côté, vivent des moments plus tumultueux. La famille de Vicky a explosé, et son père a emmenagé avec... la mère de Jenny ! Les ex-amies devenues ennemies vont donc devoir partager la même chambre. Vicky en veut à Jenny qu'elle tient pour responsable de la situation, alors que Jenny a la tête ailleurs : elle est secrètement amoureuse d'Hugo. Une reine de beauté comme elle, amoureuse d'un gros moche, c'est impensable ! L'heure des décisions a sonné pour les trois filles, et elles pèseront lourd pour leur avenir : sauront-elles faire les bons choix ? « Nous sommes ce que nous choisissons de devenir » découvriront (parfois à leurs dépens) les héroïnes de la série dans ce huitième tome.
Note Idées lecture BnF : Un tournant dans la série vers un comique plus acide et amer. Le succès de Karine s'avère fragile, tandis que Vicky martyrise son amie (?) Jenny avec une constance et une méchanceté qui n'ont d'égale que la bêtise de la pauvre rousse. C'est un jeu de massacre, porté par un dessin toujours aussi net et dynamique, une mise en scène habile des gags et un sens de la dérision sans limites. Loin d'être gratuit, le récit joue des angoisses des héroïnes (la laideur, la sexualité, le succès, l'amour...). Une évolution aussi peu fréquente qu'originale.
Note Idées lecture BnF : Le retour des trois héroïnes marque un tournant dans la série, qui prend un ton nettement plus acide et amer. Difficile de parler de gravité au vu du comique omniprésent cependant. Le succès de Karine s'avère fragile au point que le groupe des Albinos court à la dissolution, tandis que Jenny et Vicky souffrent de la métamorphose de leur ancienne tête de turc. Vicky se venge sur son amie ( ?) Jenny, la martyrisant avec une constance et une méchanceté qui n'ont d'égales que la bêtise de la pauvre rousse. C'est un véritable jeu de massacre, porté par un dessin toujours aussi net et dynamique, une mise en scène habile des gags et un sens de la dérision qui semble sans limites. Loin d'être gratuit, le récit joue des angoisses des héroïnes (la laideur, la sexualité, le succès, l'amour...) et en trace des portraits bien sombres. Une évolution aussi peu fréquente qu'originale pour ce type de série.