Le Canard, la mort et la tulipe
Disponibilité Type Localisation Cote
Disponible Livre 1er Etage - Boîte à Marmots E
Disponible
Le Canard, la mort et la tulipe
Auteurs :
Erlbruch, Wolf (1948-....) Auteur du texte
Ball-Simon, Danièle (1961-....) Traducteur
Editeur :
Année de parution :
2007
Le canard rencontre la mort et engage avec elle une discussion sur sa fin. Il invite sa nouvelle amie sur l'étang, propose même de la réchauffer. Cependant la question demeure et leur dialogue se poursuit. Finalement le canard sans vie est déposé par la mort sur la rivière, et elle lui confie sa tulipe, signe de passage. La gravité du sujet contraste avec un décor stylisé.
Note Idées lecture BnF : Après "La Grande question", Wolf Erlbruch poursuit son invitation au questionnement métaphysique. Ses collages disposés sur un fond blanc ne comportent qu'un minimum d'éléments de décor. Tout se concentre sur les deux protagonistes, le canard et la mort, petit squelette habillé d'un long manteau à carreaux et qui porte à la main une tulipe noire. Tout se joue sur leurs emplacements réciproques dans la page et dans leurs attitudes. La typo même se fait discrète, imitant celle des vieilles machines à écrire. Le canard prend conscience de la mort. Elle est là, toujours, au cas où, mais ainsi qu'elle le dit,"c'est la vie qui se charge des accidents". Ils vont s'apprivoiser, se poser des questions sur l'après. Une nuit d'hiver le canard s'endort pour toujours. La mort pose sur son ventre la tulipe noire. La dernière double page montre la mort, seule devant un aplat d'un superbe bleu, symbole de la rivière et du temps qui s'écoule inexorablement."Ainsi va la vie".
Note Idées lecture BnF : Tout se concentre ici sur les deux protagonistes, le canard et la mort, petit squelette habillé d'un long manteau à carreaux, une tulipe noire à la main. Le canard prend conscience de la mort. Elle est là, au cas où. Ils vont s'apprivoiser, se poser des questions sur l'après. Quand le canard meurt, la mort pose sur son ventre la tulipe. La dernière double page la montre, seule devant un aplat d'un superbe bleu, symbole de la rivière et du temps qui s'écoule inexorablement. " Ainsi va la vie ".