Les Malheurs de Millie Plume
Disponibilité Type Localisation Cote
Disponible Livre 1er Etage - Romans jeunesse R WIL M1
Disponible
Les Malheurs de Millie Plume
Auteurs :
Wilson, Jacqueline (1945-....) Auteur du texte
Sharratt, Nick (1962-....) Illustrateur
Dutheil de La Rochère, Cécile Traducteur
Editeur :
Année de parution :
2011
Sujets :
Londres, 1876. Millie Plume est une petite fille rousse comme le diable, abandonnée par sa maman à sa naissance. Elle a été confiée à une famille chargée de lélever jusquà lâge de cinq ans, avant de rejoindre lorphelinat où elle est censée recevoir une bonne éducation. Là-bas, Millie doit dire adieu à tout ce quelle a connu auparavant, se plier à des règles strictes et, surtout, faire lapprentissage de ce qui fera delle, une fois adulte, une parfaite domestique
Note Idées lecture BnF : La petite Millie, abandonnée dès sa naissance à Londres en 1876, est placée dans une famille d'accueil à la campagne chez un couple chaleureux avec des frères et soeurs, enfants des parents d'accueil et autres enfants placés. Mais la vie paisible se termine vite : à peine âgée de six ans, il faut aller à l'orphelinat, être séparé de ceux qu'on aime et observer des règles de vie très strictes. Millie a du caractère et s'adapte, elle refuse d'oublier ceux qu'elle aime. La vie ne l'épargne pas, mais elle a du tonus, un appétit de vivre sans limites, elle est attachante et aventureuse, n'hésitant pas à se déguiser en garçon pour voir son"petit frère". Une personne à l'orphelinat la materne plus que d'autres... un happy end peu probable, mais réconfortant. (A.E.)
Note Idées lecture BnF : Londres, 1876 : Millie, abandonnée à sa naissance, est placée dans une famille d'accueil à la campagne chez un couple chaleureux, entouré de nombreux enfants. Mais la vie heureuse prend vite fin. · six ans, il est temps d'aller à l'orphelinat où les règles sont très strictes. Millie, qui a du caractère, s'adapte mais refuse d'oublier ceux qu'elle aime. Attachante et aventureuse, elle a du tonus, un appétit de vivre sans limites, elle est. Une personne à l'orphelinat la materne plus que d'autres... Un happy end peu vraisemblable, mais réconfortant.