Mattéo - Contient : 4 - Quatrième époque (Août-septembre 1936) ; 5 - Cinquième époque (Septembre 1936 - Janvier 1939) ; 6 - Sixième époque (2 septembre 1939 - 3 juin 1940)
Disponibilité Type Localisation Cote
Disponible Livre Rez-de-Chaussée - BD adulte BDA MAT 4
Disponible
Mattéo - Contient : 4 - Quatrième époque (Août-septembre 1936) ; 5 - Cinquième époque (Septembre 1936 - Janvier 1939) ; 6 - Sixième époque (2 septembre 1939 - 3 juin 1940)
Tome :
4
Auteurs :
Gibrat, Jean-Pierre (1954-....) Auteur du texte
Editeur :
Collection :
Année de parution :
2017
A bord de la barque paternelle, chargée d'armes trouvées chez un salopard d'extrême droite, Mattéo et ses deux amis fuient Collioure et la gendarmerie. Ils débarquent à Barcelone dans la confusion : les armes, de fabrication italienne, les rend suspects aux yeux soupçonneux des républicains. Très vite innocentés, Mattéo, Amélie et Robert proposent leur "bonne volonté combative". Combattre ' D'accord. Contre qui ' C'est facile. Mais avec qui ' Socialistes ' Communistes ' Anarchistes ' C'est là où les choses vont singulièrement se gâter. Robert, le communiste, et Mattéo, l'anarchiste, vont diverger dans le choix de leur unité combattante, et c'est leur amitié qui va faire les frais de cette divergence. Robert va partir de son côté, tandis que Mattéo et Amélie vont se retrouver à attaquer le village d'Alcetria, choisi par Mattéo. Alcetria ' Pourquoi Alcetria '
Note Idées lecture BnF : Pour ce nouvel épisode des aventures de Matteo, pacifiste, romantique et idéaliste, Gibrat nous emmène en pleine guerre d'Espagne. Par rapport à de nombreuses bandes dessinées consacrées au même conflit, celle-ci se démarque par son esthétisme chaleureux, la beauté des décors et des paysages, et bien sûr le talent de Gibrat pour croquer des aventuriers séduisants et des femmes fatales. Loin d'être ridicule, cette vision rappelle que les horreurs de la guerre et de la politique coexistent avec la beauté du monde (ici l'Espagne) et sous-tend l'espèce d'anarchisme humaniste des personnages. Gibrat ne vise pas la fresque documentaire, mais le souffle et l'esprit de l'événement, comme un écho à Pour qui sonne le glas. Il y a de l'amertume dans cette beauté...